À l’Hôpital de l’Enfant-Jésus du CHA, le 7 avril 2010, à l’âge de 64 ans, est décédée dame Pauline Porlier épouse de Claude Arbour et fille d’Alice Fugère et de feu Philippe Porlier.
Outre sa mère, sa belle-mère, madame Rose-Alma Poirier (feu Norbert Arbour) et son merveilleux mari Claude Arbour.
Elle laisse dans le deuil :
Ses enfants et leurs conjoints : Christine (Martin Vachon), Marie-Hélène (Mathieu Bujold), Pierre-Luc (Véronique Chabot); ses petits-enfants : Alexis et Béatrice sans oublier Clémence et Émilie qui n’auront pas eu la chance de connaître leur formidable grand-maman; ses frères, sœurs et leurs conjoints : Yvon (Doris Caroline), Lise (Gérard Thériault), Gilles (Jeanne Cyr), Mario, Jacinthe, Céline (Daniel Cloutier), Marie (Bernard Boissonneault) de même que les beaux-frères et belles-sœurs de la famille Arbour ainsi que plusieurs oncles, tantes, neveux, nièces, cousins, cousines et ami(e)s fidèles.
La famille tient à remercier sincèrement le personnel infirmier des soins palliatifs de l’Enfant-Jésus pour les bons soins prodigués à notre courageuse Pauline et pour l’écoute attentive accordée aux membres de sa famille. Vos témoignages de sympathie peuvent se traduire par un don à l’Organisme Gaspésien de Personnes Atteintes du Cancer (OGPAC) 549 Perron Boulevard Maria (Québec) G0C 1Y0 Téléphone : 418 759-5050 ou à l’Association du cancer de l’Est du Québec, 151, Saint-Louis, Rimouski (Québec), case postal 4151, G5L 0A4. Des enveloppes seront également disponibles sur place.
La cérémonie se tiendra à l’église de Carleton le 24 avril, à 11 h, où la famille recevra les condoléances (en présence des cendres) dès 9 h 30.
La direction a été confiée à la Maison funéraire Santerre & Fils inc. de Carleton
Entreprise affiliée à la Corporation des Thanatologues du Québec.
Vous pouvez également consulter nos avis de décès sur notre site web au :
www.santerreetfils.com.
Ceux et celles qui le désirent peuvent y envoyer des marques de sympathies
La beauté des petites choses
Et autres gestes anodins
C’est un enfant qui court
Au milieu d’un jardin
C’est le chant d’un oiseau
Quand on ouvre sa cage
C’est se coucher dans l’herbe
Et compter les nuages
C’est d’aller comme le vent
Sans penser à demain
Comme si nous étions libres
Immortels et sans fin
Nicola Ciccone
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